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Gli Zuavi
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Gli Zuavi
Dal francese “Zouaves” il nome ha origine dal termine “Zwawa” con cui gli arabi indicavano la tribù berbera degli “Igauauen” abitanti nella Cabilia (Algeria).  Fin dagli inizi dell’occupazione francese in Algeria (1830), questa tribù fornì gli uomini per la formazione di alcune compagnie che furono appunto dette di “Zuavi” (1837), in seguito si formarono corpi più ampi con personale misto francese ed indigeno, infine gli zuavi divennero un corpo esclusivamente francese. Fu appunto con il decreto 1 ottobre 1830 che vennero costituiti due battaglioni e in seguito vari reggimenti: tre con sede a Costantina, Orano è Blidhah, nel 1852, ed otto nel 1912. Corpi Zuavi si distinsero particolarmente nella guerra di Crimea (1853-1856) e nella 2° Guerra d’indipendenza italiana (1859), con particolare riferimento alla battaglia di Palestro, che ne conferì il decoro della loro bandiera con medaglia d’oro al valore. Corpi di Zuavi furono ancora impiegati nelle due guerre mondiali ed infine in Indocina e in Algeria. Ebbero il nome di “Zuavi pontifici” i componenti del corpo speciale costituito nel 1860 dal generale Lamorcière per difendere lo Stato Pontificio. Tale corpo era reclutato fra le famiglie aristocratiche francesi e posto agli ordini del barone di Charette; combattè a Casteifidardo e a Mentana, poi, con il nome di “Legione Volontaria dell’Ovest” nella Guerra franco-prussiana, si sciolse nel 1871. Zuavi calabresi furono detti anche i componenti di un corpo volontario che combattè con Garibaldi nel 1860. Caratteristici della divisa degli “zuavi” erano gli ampi calzoni stretti sotto il ginocchio il cui nome è rimasto (pantaloni alla zuava), ai calzoni moderni di foggia analoga.
L'Uniforme
L’uniforme degli Zuavj francesi costituiva in una camicia di lana blù coperta di un corto giubbettino di panno azzurro orlato con trecciole rosse e con delle false tasche del colore distintivo del reggimento: una larga fascia alle reni azzurro chiara, pantaloni larghissimi rossi e stretti sotto le ginocchia, uose bianche (ghette), in capo un piccolo turbante sostituito poi da un fez rosso.
Gli Zuavi portano un uniforme molto diversa da quella dei granatieri, hanno dei pantaloni molto gonfi e svolazzanti che terminano sotto il ginocchio. Questi strani pantaloni sono tinti di rosso e sono sostenuti da delle bretelle e, nella parte più bassa, venivano praticati dei fori per permettere che, in caso di attraversamento di corsi d'acqua, tutta l'acqua raccolta potesse essere eliminata e non rendesse la marcia ancora più difficile. Questi particolari fori di scolo venivano chiamati fori di Lamoricière. Ai piedi portano delle ghette di cuoio bianco. Indossano la sedria, cioè un camiciotto blù scuro molto aderente con sopra un corto gilet anche lui blù scuro decorato con ricami arabescati di color rosso ed oro su entrambi i lati. Una cintura azzurro chiara alta 18 cm e lunga 4 mt fascia la vita , passando sia sopra al camiciotto che sopra ai pantaloni e viene lasciata pendere fuori sul fianco sinistro. Sul capo portano la chechia, una sorta di fez rosso con un ponpon blù.
C'est le Lieutenant-Général De LAMORICIERE qui est sans aucun doute à la base de l'adoption définitive de l'uniforme sous lequel on connaissait encore, avant 1914, ces braves soldats, car il n'avait subi que de légères modifications depuis sa mise en service. Nous en donnons la description:
Veste courte en drap bleu foncé, échancrée sur les cotés à la mode turque, ornée de tresses de couleur garance et de fausses poches, manches fendues en dessous jusqu'au coude et garnies d'agrafes. Gilet sans manche en drap bleu foncé se boutonnant sur le coté droit et sur l'épaule droite, et portant une tresse garance autour du cou. Une autre tresse coupant longitudinalement la poitrine en son milieu. Ceinture en toile de coton bleue. Pantalon bouffant à la turque, en drap garance pour l'hiver et la grande tenue; en toile blanche pour l'été et les marches,
lié au jarret au moyen d'un cordonnet en coton noir, soutenu par une haute guêtre en toile blanche pour la garnison, en peau pour les marches, plus tard en drap noir, jusqu'en 1873. Les Zouaves portèrent des jambières ou des molletières en cuir fauve. Au bas du pantalon, le fameux "trou de LAMORICIERE"... Chéchia rouge à gland bleu. Turban vert, puis blanc. Jusqu'à l'inspection générale de 1870, le turban blanc ne fut en usage que dans les Zouaves de la Garde impériale et aux tirailleurs algériens. Collet à capuchon d'abord en drap brun, puis gris de fer bleuté. On désigna sous le nom de" tombeau" la fausse poche des deux cotés de la veste des Zouaves, mais pourquoi ce nom? Voici
l'explication qui a été donnée par un connaisseur en la matière, le Capitaine adjudant-major G. GANGLOFF.  L'arme qu' affectionnaient les turcs était le pistolet qu'ils portaient dans une gaine appelée KÉBOUR-porte-pistolet-. Il pendait à gauche de telle façon que c'était à peine si l'on apercevait l'ovale de la fausse poche. Si l'on demandait alors à l'un de ces hommes de désigner par son nom cet endroit que l'on devinait plutôt qu'on ne voyait, il répondait invariablement, confondant le dessus avec le dessous, le porte-pistolet avec l'ornement de gilet: "nous appelons cela Kébour". On s'adressa à l'une des personnes jugées compétentes et on la questionna sur le vrai sens du mot, c'est le pluriel du
substantif KEBER qui signifie tombeau . 
Il est simple de reconnaître l'appartenance d' une unité à la couleur de son tombeau :
rouge pour les unités de la province d'Alger,
blanche pour celles d'Oran,
jonquille pour Constantine
couleur du drap de fond( bleu) pour les unités de Tunisie.
Curiosità sugli zuavi
In francese il vocabolo zouave = zuavo assume molti significati a seconda della frase di contesto, a volte è sinonimo di coraggio a volte indica un uomo stravagante, altre volte assume il valore di pagliaccio. da un testo del 1888 fare lo zuavo voleva dire fare il fanfarone, fare il furbo, e anche fare il perditempo o occuparsi di sciocchezze.
Gli zuavi hanno partecipato alla guerra di secessione americana
Estratto dell'editto reale che istituisce il corpo degli zuavi
Ordonnance du Roi  qui règle la composition et l'organisation des Bataillons et Escadrons de Zouaves qui pourront être formés en Algérie.
Louis-Philippe, Roi des Français
A tous présents et à venir, salut; 
Vu la loi du 9 mars 1831 qui autorise la formation d'une Légion Étrangère;
Sur la proposition de notre Ministre Secrétaire de la guerre;
Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit:
Art. 1er. - Il pourra être formé en Afrique des Bataillons et Escadrons de Zouaves etc. 
Art. 3.     - Il sera organisé, quant à présent, sous la dénomination de Chasseurs algériens...

Signé:Louis-Philippe  Signé: Maréchal Duc de Dalmatie

Les Zouaves datent du commencement de la conquête de l'Algérie. 
Ils ont été créés à cette occasion par le Général CLAUSEL, commandant en chef. Au début, ils sont presque uniquement recrutés parmi les indigènes, surtout parmi les Kabyles de la confédération des Zouaoua, d'où le nom de Zouaves. Par la suite, l'élément français ne tarde pas à devenir la majorité.
Un uniforme spécialement étudié pour les guerres d'Afrique, a consacré, en 1831, l'existence de ces troupes, c'est dans ses grandes lignes, l'uniforme de 1914. Les souvenirs de ces premiers zouaves se rattachent aux plus beaux faits d'armes de la conquête: c'est d'abord la prise de CONSTANTINE en 1837, où s'illustre le Lieutenant-colonel DE LAMORICIÈRE, puis viennent les opérations dans la province d'Oran en 1841, rendues populaires par la casquette du Père Bugeaud. En 1843, lors de la prise de la smalah d'Abd El Kader, les zouaves exécutent une marche de 120 Km en 30 heures. Ils sont encore au combat de l'Isly contre les Marocains en 1844; enfin, ils clôturent magnifiquement cette campagne d'Algérie, par l'assaut de Zaatcha en1849.
Gli Zuavi, la loro storia:
Un décret du 13 Février 1852, décide la formation des trois premiers Régiments de Zouaves.

1830 :  le premier corps de Zouaves est créé en Algérie à deux bataillons
1833 : les deux bataillons fusionnent en un bataillon à 12 compagnies.
1835 : Ce bataillon est divisé en deux à 6 compagnies
1837 : un 3eme bataillon est créé.
1841 : Les 3 bataillons fusionnent en un régiment à 3 bataillons de 9 compagnies.
1852 : Ces 3 bataillons forment chacun un régiment pour les 3 provinces de l'Algérie:
1854 : les 4 régiments participent à la bataille de Sébastopol
1855 : Création d'un régiment de Zouaves de la Garde Imperial
Le second Empire succède à la seconde République. Napoléon III, comme Napoléon Ier, veut une garde composée de l'élite de ses troupes. Les zouaves en font naturellement partie, et dès 1855, un régiment des Zouaves de la Garde rivalise de bravoure avec les voltigeurs, les Guides et les Grenadiers de la Garde. Il est créé en Crimée, par prélèvement de l'élite des trois régiments. Sur le drapeau qui lui est remis par le Général CANROBERT, on écrit les noms des grandes victoires de la Garde: Melegnano, Marengo, Ulm, Iéna.  Grâce à sa belle conduite à Malakoff le Régiment des Zouaves de la Garde ne tarde pas à inscrire à son drapeau sa première bataille personnelle: Sébastopol.
En 1859, le Piémont appelle les Français à son secours contre l'Autriche. Nos zouaves débarquent à Gènes, traversent avec enthousiasme
cette Italie du Nord, ou les soldats de Bonaparte avaient commencé le tour des capitales en 1790. Deux chevrons nouveaux s'ajoutent à celui de Crimée: Magenta, Solferino.
1859 : les 2eme et 3eme RT participent à la bataille de  Solférino, le 1er RT à la bataille de Turbigo.
1863 : bataille de San Lorenzo
En 1870, il y a donc sur le drapeau: Marengo, Ulm, Iéna, Sébastopol, Magenta, Solferino
Le Régiment est dissous en 1962

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